• Nombre de pages : 288    |      Collection : Bragelonne    |     Prix :  17, 10 €

    Alors là... Je ne comprends vraiment pas l'engouement des gens à propos de ce livre. En lisant le résumé, je m'attendais à quelque chose de pas mal, qui sortirait de l'ordinaire et nous transporterait bien plus loin que tous les livres apocalyptiques-fin du monde qui existent déjà pourtant en masse... Or, ce livre est d'un banal affligeant et les commentaires que j'ai pu trouver concernant cette lecture sont à l'extrême opposé de l'avis que je vais vous développer.

    Et je commencerais en tranchant dans le vif du sujet : le thème du bouquin. Je ne comprends pas trop où l'auteur a voulu en venir en écrivant cette histoire puisqu'il n'y a pas grand chose à en retirer. Pas de morale, pas réellement d'histoire, pas de ligne dominante non plus. On suit l'aventure - plate - de Temple pour découvrir du pays et « survivre » (vilain mot puisqu'il ne se passe pas grand chose en cours de lecture) en ayant quelques pensées théologiques sur Dieu, la vie, les morts, etc. D'ailleurs, je ne comprends pas trop cet intérêt pour Dieu. Il est abordé à toutes les pages, toutes les sauces et l'auteur essaie probablement de nous faire réfléchir sur une cause dont je n'ai pas compris le sens. Je ne sais pas comment l'expliquer.

    En parsemant ces petites pensées philosophiques, Alden Bell a trouvé judicieux de nous contenter avec quelques scènes assez spectaculaires puisque inexplicables.

    Temple, jeune adolescente de 15-16 ans, a un langage plutôt cru et bourrin, des comportements hors norme (même pour une prétendue fin du monde) et un caractère assez... Comment dire ? Violent et impulsif. Je n'ai pas trop envie d'en expliquer les raisons, de peur de vous dévoiler des passages du livre - vous remarquerez d'ailleurs que mes avis sont toujours vagues, pour cette même raison - mais je peux néanmoins vous en donner un court raisonnement : pour moi, certains passages n'avaient pas lieux d'être. Sombres, gores, sexuels, etc. Des thèmes abordés simplement pour assouvir une curiosité malsaine. En toute honnêteté, le livre aurait gagné en saveur si ces dits passages avaient été abordés avec plus de logiques et d'explications.

    Pour en revenir à l'histoire, je dois dire que je n'ai pas beaucoup de choses à dire de positif. Temple ne m'a pas plu, son histoire non plus, ses aventures encore moins. L'avantage du livre ? Je dois avouer que malgré l'incompréhension, il se lit plutôt rapidement. Les pages défilent assez vite, probablement suffisamment pour ne pas nous ennuyer, mais aussi trop peu que pour y voir un quelconque intérêt. Je ne sais pas quoi dire de plus pour exposer mon impression sur cette histoire farfelue, plate, aux personnages creux et aux aventures... Pas vraiment aventureuses.

    Je m'attendais à autre chose, à quelque chose de meilleur et rien que pour cette raison, j'ai décidé d'être si tranchante dans ma note. En espérant, si vous lui laissez une chance, qu'il trouvera davantage grâce à vos yeux qu'aux miens...


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  • « Laisse-moi entrer » de John Ajvide Lindqvist

    Nombre de pages : 606    |      Collection : Milady    |     Prix :  9 €

    Un prix attractif, un titre énigmatique, un auteur au nom incompréhensible, une histoire que l'on dit intéressante et une couverture que je trouve tout simplement sublime... Il ne m'en a pas fallu d'avantage pour me laisser porter vers ce livre réédité par les éditions Milady.

    Cependant, je n'ai pas tout de suite su apprécier ce roman à sa juste valeur. Les premières pages ont été particulièrement difficiles à amorcer. N'ayant pas spécialement la tête à lire, mais voulant me changer les idées malgré tout, j'ai du me jeter corps et âme pour y comprendre quelque chose. Il y a, dans cette histoire, énormément de lieux/villes aux noms indéfinissables, de nombreux personnages à mémoriser, une ribambelle de détails à visualiser. Le personnage principal, Oskar, est un garçon assez spécial, mais son caractère bien particulier m'a pourtant beaucoup plu et je n'ai pas eu beaucoup de mal à m'attacher à lui. Certes, j'ai parfois trouvé ses réactions un peu molles ou pas vraiment compréhensibles mais j'ai aimé découvrir l'histoire à travers lui (bien que ce ne soit pas le seul à interagir). Je dois dire que j'ai également beaucoup apprécié le personnage d'Eli qui, de loin, comme de près, est celui qui m'a le plus intriguée durant toute ma lecture. Ses passages me faisaient à la fois frémir et bondir. Ce qui me fait venir progressivement au point négatif de « Laisse-moi entrer » : la lenteur des premières pages. Car oui, c'est l'un des défauts de ce livre (et l'un des rares en comptant les noms des lieux et la foule de personnage).

    On ne sait pas vraiment où l'on va, ce que l'auteur a en tête, ou même où il veut en venir. On a une vague idée, on se doute que le sujet du roman reste nos amis aux longues dents, mais on n'en sait pas plus. On avance un peu à l'aveuglette en attendant la chute que l'on pense avoir trouvée... Sans vraiment trop y croire. Et c'est là que le roman reprend tout son sens : cette lenteur est indispensable. On s'imagine une multitudes de choses, d'actions (im)probables, etc. Sans comprendre que cette mise en scène est volontaire et obligatoire pour nous permettre d'être soufflé par la suite.

    Après avoir râlé durant les deux premières parties en essayant d'y comprendre quelque chose, je n'ai plus su me débâtir du bouquin. Chaque page tournée me donnait l'envie de continuer. D'en apprendre d'avantage sur Oskar, mais surtout sur Eli. J'ai aimé découvrir les secrets imaginés et mis en scène par l'auteur. J'ai aimé ce coté un peu malsain, tout au long du livre. Je me suis laissée prendre au jeu. Je me suis plongée dans cette lecture et je n'ai plus su en sortir sans avoir lu la dernière page. Une fin qui m'a d'ailleurs un peu surprise, mais je n'en dirais pas d'avantage. Certains passages m'ont parfois dérangée (ce livre est réellement très, très malsain par moment), mais ça n'a pas empêché de continuer malgré tout puisque j'ai trouvé que cela apportait un sens à la lecture. Je pense que ce livre n'aurait pas eu la même saveur sans toute cette horreur. De plus : l'auteur a su décrire les situations avec une telle justesse et de manière si authentique qu'on alterne très facilement (et rapidement) les émotions : dégoût, surprise, agitation, écoeurement, soulagement, etc. Ce qui ne fut pas déplaisant. J'aime cette sensation d'ascenseur émotionnel !

    Je n'ajouterais qu'une seule chose : si vous aviez en projet de le lire, faites le car malgré quelques mollesses et une lenteur calculée, ce livre en vaut réellement le détour. On ne cesse d'ouvrir la bouche en un O silencieux de frustration de découvrir les révélations si éparses et pourtant... Si surprenants !

    « Laisse-moi entrer » de John Ajvide Lindqvist

    Etant de nature très curieuse, il était de me devoir de me diriger vers les adaptations une fois le bouquin terminé et je peux dire que j'en ressors avec un arrière goût d'inachevé.

    Je commencerais en vous donnant mon avis sur la première adaptation : « Morse », qui date de 2008. A vrai dire, les personnages sont assez représentatifs de ce que j'imaginais. Les dialogues sont assez fidèles, les décors sont assez ressemblant également mais je ne sais comment l'expliquer... Il manque quelque chose. Je n'ai pas vibré devant cette adaptation. Or, pour moi, une bonne adaptation se doit d'être fidèle mais doit aussi pouvoir prendre aux tripes. De plus, je m'attendais à quelque chose de plus ressemblant, tant les commentaires que j'avais lu étaient positifs. Mais malgré la ligne directrice, tout n'est pas répertorié. Il manque de gros passages qui, selon moi, étaient indispensables (origine de la maladie d'Eli, le « vieux », certains autres personnages carrément mis à la trappe). Je suis à la fois conquise et déçue. Ou plutôt : je reste sur ma faim car je m'attendais à autre chose. Ce film reste cependant très agréable à regarder, bien que j'aurai préféré une adaptation plus fidèle du roman. Et puis, je dois bien avouer que les effets spéciaux sont vraiment surprenants et méritent à eux-seuls le détour.

    Pour en venir à la seconde adaptation qui tire son nom du dit roman, je dois dire que si « Morse » m'avait un peu déçue, ce n'est nullement comparable à « Laisse-moi entrer ». L'adaptation, bien plus personnelle de l'auteur, m'a un peu dérangée. Les personnages ne sont plus aussi fidèles à ceux du livres, leurs prénoms ont également été troqués pour correspondre aux « normes » hollywoodiennes (ou pour éviter le plagiat, tout simplement). Les scènes sont, comme dit plus haut, beaucoup plus personnelles. Certains détails ont été ajoutés pour mieux correspondre aux demandes des spectateurs or, je n'ai pas forcément apprécié ces mises en scènes revisitées qui donnent au film un genre un peu mélodramatique. Le film perd tout son sens en tant qu'adaptation puisqu'il ne suit plus vraiment la ligne directrice du bouquin et se permet de s'éparpiller, d'ajouter des choses qui ne sont pas censées être là, des comportements qui vont à l'encontre du livre, etc. Même Abby, sensée représentée Eli, m'a dérangée. Son comportement m'a déplu, ses paroles aussi. Elle devient désagréable et il est plus difficile de s'attacher à elle alors que tout n'était que facilité dans « Laisse-moi entrer (le livre) & Morse ». Cependant, et je dois bien le reconnaître, certains passages ont pourtant su faire mouches puisqu'ils étaient inexistants dans la première adaptation du nom. Je pense que pour avoir un film cohérent, fidèle et appréciable, il aurait fallu faire un condensé des deux films. Fusionner les idées des deux auteurs, en agrémentant le tout de quelques scènes supplémentaires qui, je le répète, me semblaient indispensables mais sont pourtant restées inexistantes. Pour les fana, cette adaptation reste pourtant assez bonne, malgré quelques bémols et un coté mélodramatique qui devrait plaire à certains.


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  • La génoise :

    Préchauffez le four à 180 ou 200° ; Beurrez et farinez un moule à gâteau arrondi ; Séparez les blancs des jaunes et montez les en neige, avec une petite pincée de sel ; Ajoutez le sucre aux jaunes et mélangez jusqu'à ce que le mélange blanchisse et mousse ; Incorporez les blancs au mélange sucre-jaune en procédant par étapes (remuez doucement) ; Tamisez la farine au dessus de la pâte et mélangez ; Versez la préparation dans le moule et enfournez 30 à 40 minutes ; Attention : n'ouvrez pas le four avant la fin de la cuisson.

    Le coulis de fraises et la chantilly :

    Pour le coulis de fraises : rincez les fraises avant de les équeuter et de les couper en rondelles ; Mixez les 10 secondes, puis ajoutez y le sucre avant de mixer à nouveau 10 secondes ; Si vous souhaitez utiliser le citron, ajoutez quelques gouttes et mixez encore 2-3 secondes. Pour la chantilly : versez la crème et le sucre dans un saladier ; Battez le mélange à l'aide d'un fouet électrique en alternant vitesse lente et rapide ; Réservez au frais le temps que la génoise soit prête.

    Le dressage/montage :

    Lorsque la génoise est prête, laissez la refroidir quelques minutes ; Retournez la sur une grille recouverte de papier aluminium ou sur un torchon ; Attendez deux ou trois heures avant de procéder au découpage (j'ai attendu 24 heures) ; Retournez la pour que la partie bombée de la génoise soit dirigée vers vous ; Posez la main sur le dessus et découpez la en deux en appuyant doucement sur le sommet ; Retirez le « capuchon » et mouillez le avec du coulis de fraises (il doit juste ramollir un peu) ; Passez ensuite à la partie inférieure et répartissez y une bonne quantité de coulis ; Laissez les deux parties s'imprégner du coulis et se ramollir ; Pendant ce temps, découpez 500 grammes de fraises en rondelles en réservant les « culs » ; Répartissez quelques rondelles sur la base de la génoise (recouvrez toute la surface) ; Ajoutez la chantilly soit à l'aide d'une poche à douille, soit avec une cuillère à soupe ; Recouvrez la d'une seconde couche de rondelles de fraises avant de refermez la génoise ; Étalez une couche de chantilly sur l'entièreté de la génoise avant de la décorer de fraises ; Déposez quelques points de chantilly sur les rondelles extérieures et déposez y les « culs » ; Vous pouvez également ajouter un peu de coulis autour de la génoise pour un rendu plus gourmand.

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  • « Emya » de Louise Tristani

    Nombre de pages : 179    |   Collection : Elzévir   |    Support : Numérique   |    Prix :  15, 45 €

    « Emya » de Louise Tristani

    J'avoue que pour une fois, je reste sans mots... Cela aurait pû être formidable si cela n'avait pas été dans le sens négatif du terme. Que dire sur cette histoire, si ce n'est que j'ai trouvé qu'elle était mal écrite ? L'intrigue était pourtant bien partie, les bases prometteuses, le sujet intéressant, mais là... Quelle déception ! L'histoire s'enchaîne dans un méli-mélo d'événements plats, de conversations stériles et parsemées de personnages agaçants à souhait. Il n'y a pas de "préliminaires", on rentre directement dans le vif du sujet sans trop comprendre comment, ni pourquoi on en est arrivé là. Il n'y a aucune continuité, aucune cohérence. Les événements se succèdent sans prémices, ni explications, et j'ai trouvé ça excessivement dérangeant. Passer d'un sujet à un autre, d'une situation à une autre, d'une histoire à une autre... 

    Je suis déçue. Mon plus grand regret aura tout de même été d'avoir déboursé pratiquement 16 € alors que ce roman ne vaut clairement pas de tels frais !


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  • Certains s'en souviendront peut-être : l'année passée, je participais au tout premier concours de cuisine organisé par le site Priceminister avec une recette de gâteau au chocolat. Cette année, ils remettent le couvert... Et moi aussi ! Pour l'occasion, je me suis testée à une nouvelle recette : les lamingtons, de petits gâteaux australiens, revisités ! Soit : une base de cake et un enrobage au chocolat, saupoudré de noix de coco. Un mélange que j'affectionne tout particulièrement et qui fait toujours mouche auprès de mon petit gourmand de fiancé ! Mais trêve de bavardages, voici donc le règlement à suivre pour pouvoir participer au concours et la recette que j'ai choisie, pour ceux qui souhaiteraient la refaire pour la Saint-Valentin.

    « Pour cette édition 2013 de la Saint-Valentin gourmande, nous vous proposons de réaliser une recette originale (entrée, plat ou dessert) à partir d’un des six ingrédients « aphrodisiaques » sélectionnés par Juliette, à savoir : chocolat, gingembre, avocat, amande, basilic et pour les plus aventureux d’entre vous, le wasabi. Cette recette donnera peut-être des idées aux amoureux pour épicer leurs dîner de St-Valentin.

    Réfléchissez à une recette (entrée, plat ou dessert) conçue à partir d’un des ingrédients cités ci-dessus; Donnez un nom à votre recette; Une fois la recette réalisé, publiez-la sur votre blog en précisant que vous participez au concours St Valentin PriceMinister; Insérer au minimum trois photos de votre recette par article pour que nous puissions mieux l’apprécier; Envoyez nous l’url de votre article/recette ainsi que votre pseudo PriceMinister à l’adresse suivante: oliver.moss@priceminister.com avant le 15/02/2013 pour confirmer votre participation; Une seule participation par blog. »

    Lamingtons revisités au chocolat - noix de coco :

    Concours PriceMinister de Saint-Valentin - Seconde édition

     Etapes à suivre pour le gâteau :

    1) Préchauffez le four à 190° C (Th.5);

    2) Graissez et farinez un moule rectangulaire (20x30). Personnellement, j'ai opté pour trois petits moules en silicone et  un moule rectangulaire;

    3) Tamisez la farine, la levure et le sel, puis mettez le tout de coté;

    4) Dans un plat (saladier ou autre), mélangez le sucre, l'extrait de vanille (ou le sucre vanillé) et le beurre en pommade (beurre fondu grâce à la température ambiante); Si vous ne voulez pas attendre ou si vous n'avez pas le temps d'attendre que le beurre atteigne la bonne texture naturellement, vous pouvez le faire fondre au micro-onde pendant 30 secondes à basse température (100-200), puis mélangez bien; Si vous remplacez l'extrait de vanille par le sucre, diminuez la dose de sucre en poudre et ajoutez y le sucre pour avoir le dosage indiqué plus haut (chose que j'ai faite) ;

    5) Ajoutez les oeufs un par un, tout en remuant bien après chacun. Ma petite astuce consiste à n'ajouter que les jaunes et, dans un plat à part, à monter les blancs en neige. Ajoutez y une petite pincée de sel pour faciliter le montage. Une fois le mélange solidifié (inclinez le plat, si le mélange colle aux parois, c'est qu'ils sont parfaits), ajoutez les au mélange sucre et oeufs. Ne pas fouettez les blancs mais les incorporez doucement pour que le mélange soit aérien.

    6) Ajoutez progressivement la farine et le lait. Altérnez bien les deux pour que le mélange puisse se lier correctement. De mon coté, j'ai procédé en quatre étapes farine - lait.

    7) Versez le mélange dans le moule et enfournez dans le four préchauffé pendant 30 à 40 minutes. Vérifiez la cuisson après 30 minutes à l'aide d'une pointe de couteau. Insérez la dans le gâteau, si elle ressort propre, c'est que la cuisson est finie. Si elle en ressort collante de pâte, laissez cuire encore quelques minutes.

    Etapes à suivre pour le glaçage:

    1) Selon la recette originale : mélangez 450 grammes de sucre glace avec 5 cuillères à soupe de cacao en poudre. Chauffez 120 ml de lait et 15 grammes de beurre dans une casserole, jusqu'à ce que le beurre soit fondu. Versez ensuite le lait dans le mélange de sucre et de cacao. Remuez bien pour que la texture soit fluide, mais pas trop. Elle doit pouvoir tenir au gâteau !

    2) Salon ma recette : chauffez le lait dans une casserole, sans le porter à ébullition. Ajoutez y, hors du feu, le chocolat et le beurre. Remuez bien afin que le chocolat et le beurre s'incorpore au lait complétement. Il faut avoir une consistance fluide, mais pas trop. Attendez quelques minutes si le mélange semble trop liquide.

    3) Vous pouvez aussi remplacer le lait par de la crème liquide. Pour ce faire : faites fondre le chocolat et le beurre au bain marie. Une fois que le mélange est complétement liquide, ajoutez y la crème hors du feu. Remuez bien puis laissez reposer quelques minutes. Une fois que le chocolat commence à se figer, étalez le sur la surface du gâteau. Attention : n'attendez pas qu'il sèche trop longtemps où vous risqueriez de ne plus savoir l'étaler. Il faut qu'il soit fluide... Mais pas trop !

    Etapes à suivre pour le dressage :

    1) Si vous avez utilisé un moule rectangulaire, découpez le gâteau en carrés (le nombre que vous souhaitez). Placez la noix de coco dans une assiette plate puis, à l'aide d'une fourchette, trempez les morceaux dans le chocolat et la noix de coco. Laissez le chocolat se figer avant de déguster ! Si vous souhaitez un enrobage moins lourd, étalez le chocolat sur la surface des gâteaux à l'aide du dos d'une cuillère. Une fois les carrés entièrement recouverts, saupoudrez de noix de coco et laissez sécher. Décorez selon vos goûts et dégustez... Bon appétit !


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