• Cavalier blanc : Alice de Eli Esseriam   238 pages | Nouvel Angle | 17,40 €

    « Apocalypsis [01] » d'Eli Esseriam

    Ils sont quatre adolescents d’apparence ordinaire : Alice, Edo, Maximilian et Elias. Ils ne se ressemblent pas et n’ont, à première vue, rien en commun. Leurs vies vont pourtant s’entremêler. Chacun va se découvrir un rôle dans ce cataclysme planétaire et apprendre à dominer son pouvoir . Ils vont devoir s’unir et sceller le Jugement Dernier. Ils sont les Cavaliers de l’Apocalypse.

    Ils devront tuer, mais aussi épargner, maîtriser le sort des Hommes tout en se soumettant à leur propre destin. Seules 144 000 âmes pourront être sauvées. En ferez-vous partie ? Ou serez-vous un de leurs mystérieux opposants, prêts à tout pour sauver le Monde ?

    Merci à Lady K du site L'antre des livres pour ce roman voyageur.

     

    Ce que j'en ai pensé                    « Apocalypsis [01] » d'Eli Esseriam

    Les cavaliers de l’apocalypse, c'est un sujet qui m'a toujours intriguée et passionnée, sans que je ne prenne jamais le temps de m'y porter. L'apocalypse. La rédemption. La mort. Le cavalier blanc. Le rouge. Le reste. Comment passer à coté d'un tel sujet ? Comment ignorer ce condensé d'imagination ? Comment ne pas exploiter une telle source de créativité ? Je me suis toujours posée la question, de savoir pourquoi on délaissait si souvent une histoire ayant un tel potentiel au détriment d'histoires préfabriquées ? Lorsque j'ai appris qu'un auteur avait pris le risque de se lancer dans cet acte biblique, je me suis interrogée une nouvelle fois. Quelle serait le niveau du roman ? Comment allait-il exploiter la filière ?

    Je n'ai pas tardé à le découvrir grâce à Lady K du site L'antre des livres et son idée fabuleuse de partager ce livre voyageur. Une histoire à découvrir et à se partager. Un avis à propager à travers certains blogueurs chanceux. Inutile de le cacher, je suis comblée.

    Lorsque j'ai découvert que le livre m'attendait, posé sauvagement sur le pas de la porte (Dieu facteur ne connaissant pas la boîte aux lettres, ni la délicatesse), je n'ai pu réprimer un léger frisson. Il était enfin là, à ma portée, et j'allais devoir attendre de terminer ma lecture du moment pour pouvoir le lire et savourer ses pages... Quelle douce torture. J'ai l'impression que ma découverte n'en fut que meilleure. J'ignore si je pourrais lui trouver des inconvénients, des détails ou des trifouillages un peu gênants. Des points faibles ? Je n'en ai pas constaté et, s'il y en avait, je ne les ai pas remarqué.

    Je dois dire que l'auteure, Eli Esseriam, a une plume incroyable et renversante. Un style d'écriture particulièrement prenant et bien travaillé. Des mots savamment choisis et parfaitement employés. Son histoire est parsemée de données, comme un condensé d'informations sous toutes formes. Elle nous parle de peinture en passant par la littérature qui nous est si chère. J'ai aimé la personnalité élaborée du personnage principal. Alice, le cavalier blanc et ses nombreuses facettes, son coté miss-je-sais-tout, sa dépendance au savoir et ce dictionnaire élaboré qui lui sert de cerveau.

    Je n'avais encore jamais lu un livre d'une telle qualité. Les rebondissements qui parsèment l'histoire sont nombreux, justifiés, captivants. Jamais je ne me suis ennuyée, même quand l'action n'était pas forcément au rendez-vous. Même dans les moments les plus calmes, je parvenais à savourer les phrases, à décortiquer l'histoire et à m'imprégner de son intrigue. Je ne mentirais pas en disant que j'ai ressenti une foule de sentiments durant ma lecture. J'ai ris durant certains passages, je me suis offusquée au cours d'autres moments, en passant par une palette d'émotions que je n'imaginais pouvoir éprouver face à une lecture de ce genre.

    Certes, j'ai été étonnement lente au cours de cette lecture, mais je ne pouvais faire autrement. Je ne voulais pas voir apparaître le point final. J'aurais voulu me noyer dans les mots et ne jamais en ressortir. J'aurais aimé que le livre ne finisse jamais, que les pages se succèdent encore et encore jusqu'à n'en plus pouvoir. Jusqu'à me saouler, comme ivre d'avoir trop lu. Enfin, je ne m'éterniserais pas davantage. Je me contenterais de ceci. De cet avis exceptionnellement bon pour un livre tout aussi exceptionnel, tout simplement. Un livre coup de coeur, pour l'intrigue, mais aussi pour l'auteur.

    Que dire de plus, si ce n'est que je trépigne d'impatience à l'idée de pouvoir me plonger dans la vie du second Cavalier...

    « Tandis que la plupart de mes camarades s’étaient contentés de « j’aime bien » ou « c’est intéressant », je pense pour ma part que les livres sont comme les êtres humains. Parfois, nous les aimons pour des raisons cohérentes, raisonnées et intelligibles. Ils sont bien écrits, riches et attrayants comme des éphèbes bien nés. Mais de temps à autres, notre inclinaison vers tel ou tel ouvrage relève plus du pulsionnel, de la passion et de l’irrationnel. Exactement de la même façon dont on s’éprend d’une personne improbable qui ne correspond en rien à nos attentes. » 

     

    Les différents tomes de la saga

       


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  • La guerre des Eléments

    Challenge A&M

    Pour visiter son blog : La guerre des Eléments.   |   Pour visiter sa page FaceBook : C'est ici. 

    Comment en suis-je arriver là, à devenir partenaire avec une jeune femme aussi douce et gentille ? Une écrivain, qui plus est ! Eh bien, c'est très simple. C'est grâce à elle. Grâce à un concours organisé sur son site et une synchronisation parfaite qui m'a permis de découvrir son ouvrage, agrémenté d'un petit mot en dédicace. Depuis, j'aime à partager avec elle, Perrine Rousselot. Une jeune maman de 29 ans qui ne manque pas d'imagination. Une écrivain originale, avec des idées surprenantes qui m'ont littéralement conquises. Certes, je ne la connais pas encore très bien, mais j'espère que ce partenariat entre nos sites (et nous même), nous permettra d'en apprendre d'avantage l'une sur l'autre. Et qui sait où le destin nous emportera ?! (: 

    Challenge A&M


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  • Challenge A&M

    Nombre de pages : 30   |   Editeur : R

    Portrait d'un Starter est une nouvelle cherchant à amener un tout nouveau roman dystopique : Starters, écrit par Lissa Price. Il est disponible gratuitement sur le site officiel : Starters.

    Challenge A&M

    Mon avis :

    Tout le monde semble s’accorder sur le fait que Starters semble être un roman très prometteur. Les avis pullulent déjà sur la blogosphère, le livre fait parler de lui davantage en bien qu’en mal et beaucoup semble vouloir lui laisser une chance non négligeable depuis des semaines interminables. Je suis de ces personnes, impatiente de pouvoir me lancer dans la découverte de ce roman qui m’a tout l’air exceptionnel. D’ailleurs, lorsque j’ai su qu’une nouvelle était disponible sur la toile, gratuitement qui plus est, j’ai sauté sur l’occasion. C’était le moyen le plus sure de découvrir la plume de Lissa Price sans prendre trop de risques. Et quelle plume ! Une vingtaine de pages, tout au plus, qui nous centrent dans son univers impitoyable scindé en deux parties : les Starters, autrement dit les jeunes d’un coté et les Enders, soit les personnes plus âgées, de l’autre. Deux mondes qui s’affrontent et qui se craignent lorsqu’ils ne collaborent pas pour d’étranges et obscures raisons.

    Je dois dire que « Portrait d’un Starter » est une nouvelle très surprenante qui nous glisse dans la peau d’un jeune adolescent, fana de dessin, qui va entreprendre une petite escapade à travers la ville pour surprendre son amie passée du coté obscur. C’est une petite mise en bouche, un avant-goût des prochaines aventures imaginées par l’auteur, Lissa Price qui m’a déjà conquise par son style d’écriture et son décor extravagant et mystérieux. Je dois aussi dire que cette nouvelle, par son coté énigmatique et avant coureur, m’a donné très envie de lire le roman. C’est un moyen efficace d’appâter le lecteur et de le transposer dans une histoire hors du commun, à la fois effrayante et surprenante. Je n’ai qu’une chose à ajouter : Madame Price, méfiez-vous, je vous guette ! :)

    Challenge A&M


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  • « Belle de glace » d'Anna Sheehan.

    Nombre de pages : 378   |   Editeur : Hachette   |   Collection : Black moon

    Un tout grand merci aux éditions Black Moon et au site Livr@ddict pour m'avoir fait confiance et de m'avoir permis de lire ce roman qui fut une très, très, très agréable découverte.

    « Belle de glace » d'Anna Sheehan.   Module

    Ah ! Les éditions Hachette et leur collection Black Moon… Entre elles et moi, ça à toujours été un véritable coup de cœur permanent. Autant vous le dire tout de suite (pour la trente-sixième fois), j’ai rarement été déçue par leurs livres. La qualité des romans, l’originalité des auteurs, leurs couvertures énigmatiques, etc. Tout dans leurs ouvrages m’a toujours captivée et tenue en haleine. Ce pourquoi, lorsque j’ai appris qu’un nouveau livre allait bientôt faire son apparition, j’ai sauté sur l’occasion. Belle de glace. Un titre accrocheur. Une couverture sublime, sombre, élégante et mystérieuse avec cette demoiselle aux allures de princesse endormie. Ce résumé éloquent qui ne donne qu’une seule envie : connaître l’histoire de cette belle au bois dormant revisitée par les plus grands soins d’Anna Sheehan. Encore une fois, lorsque je l’ai aperçu, là, disponible sur le site Livr@ddict, je n’ai pas hésité une seule seconde. Il me le fallait. Je devais le lire, coûte que coûte, alors j’ai tenté ma chance. J’ai envoyé ma participation avec un petit pincement au cœur, la crainte de ne pas avoir la chance de découvrir ce roman qui, pourtant, m’envoyait de grands signaux pour être lu par moi. Et si... C’est arrivé. J’ai été sélectionnée.

    Quelle plaisir j’ai eu en le découvrant dans ma boite aux lettres, soigneusement emballé dans du papier brun quelques semaines plus tard. J’étais si intriguée que je l’ai directement entamé… pour en ressortir avec un sentiment plutôt mitigé. A vrai dire, je crois qu’à force de lire, j’ai pris l’habitude de m’approprier les histoires et de les démêler avant même d’en arriver au bout. Ce pourquoi je n’ai pas été véritablement surprise quant à l’intrigue. Certes, l’auteur m’a captivée par son originalité et ses rebondissements omniprésents. Pour cause : on n’a pas le temps de s’ennuyer une seule seconde. L’histoire nous prend aux tripes, nous cueille dès le départ et nous transporte dans un univers où le rythme est plus que constant. On ne peut pas passer outre ce phénomène. C’est un monde fascinant, très proche de ce qu’on appel aujourd’hui la dystopie et je dois dire que j’adore ce genre de livre. Dans Belle de glace, tout s’enchaîne très rapidement. Les évènements se succèdent à une telle vitesse, que ça en devient fascinant. On en découvre un peu plus à chaque page, on s’étonne, on s’esclaffe et en même temps, ça nous emplit d’horreur de savoir qu’une telle chose puisse exister. Quant aux personnages, ils sont si bien travaillés qu’on leur découvre des personnalités authentiques qui pourraient bel et bien exister. Le décor en lui-même pourrait devenir le notre dans un futur proche.

    Et puis, il y a Rose, le personnage principal. Cette jeune demoiselle endormie depuis plus de soixante ans. C’est son histoire que nous suivons, qui nous captive et qui nous hante. C’est beau et en même temps, c’est tellement laid qu’on ne sait pas comment réagir. On s’étonne de ses attitudes, on s’insurge devant son manque de réactions et puis, on comprend, un peu trop tard. Je me suis un peu lassée de cette adolescente plus vraiment si adolescente que ça au final. Elle met beaucoup trop de temps à se remettre à question ou bien même à s’en poser et ça m’a légèrement agacée par moment. Puis, avec le temps, je me suis réconciliée avec elle. Parce qu’on apprend son parcours en même temps qu’elle, mais aussi parce que je ne me doutais pas que l’auteur avait imaginé pareil scénario, malgré quelques soupçons qui se sont avérés corrects. Car oui, certaines choses m’ont semblées relativement évidentes. L’auteur nous tend d’énormes perches sous formes d’indices pas si bien camouflés que ça. Certaines choses n’auraient pas dû être écrites pour plus du mystère, selon moi. Je me tairais quant à ces soupçons, mais j’espère qu’ils ne vous paraîtront pas aussi évidents qu’ils l’ont été pour moi. Quant aux personnages, je dois dire que celui que j’ai préféré de tous fut Otto, ce garçon si mystérieux. Son coté tendre et étrange. Sa situation. Son histoire. L’horreur dans toute sa splendeur. Son courage face à tout ça. Sa capacité à réfléchir. Il aurait mérité un peu plus d’attention, être creusé d’avantage, mais ce n’est que mon avis.

    J’imagine que ce livre sera un tome unique et c’est, encore une fois, quelque chose qui me déçoit car j’aurais beaucoup aimé continuer à suivre Rose et savoir quelle sera la suite de ses aventures car cette fin m’a laissée quelque peu perplexe. J’aimerais plus de réponses. J’aimerais redécouvrir cet univers qui, malgré quelques bémols, fut un véritable coup de cœur pour moi. Ce travail m’a conquise, ce pourquoi j’oublie ces quelques points faibles dans le scénario. J’en veux plus. J’en veux d’avantage. Je veux me noyer à nouveau dans l’imagination de l’auteur qui m’a tant fascinée. Le temps nous en dira plus, je suppose. En attendant, vous voilà avertis… Vous devez lire ce livre, quoi qu’il arrive et ce, même si les avis divergent. Cela reste une très bonne découverte, notamment pour son coté moralisateur que vous ne pourrez ignorer…

    Les + : Un rythme soutenu et des rebondissements constants. On n’a pas le temps de s’ennuyer une seule seconde. Tout s’enchaîne très rapidement et se précipite. Les pauses sont de très courtes durées. Le livre nous tient en haleine. Les personnages sont hautement intéressants et bien travaillés, ils révèlent de véritables personnalités.

    Les – : Une part d’intrigue reste relativement évidente. Dès le début, j’avais certains soupçons qui se sont avérés corrects. Certains personnages auraient mérités plus d’intérêt, comme Otto. Une fin un peu trop brève à mon goût.


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  • Vivants de Isaac Marion                           318 pages | Bragelonne | 17 €

    « Vivants » d'Isaac Marion.

     

    R est un zombie. Il n'a pas de nom, pas de souvenirs, pas de pouls. Mais il rêve. Dans les ruines d'une ville dévastée, R rencontre Julie. Elle est vivante, palpitante. C'est un jaillissement de couleurs dans un camaïeu de gris. Et sans vraiment savoir pourquoi, R choisit de ne pas la tuer.

    C'est le début d'une étrange relation, à la fois tendre et dangereuse. Ce n'était jamais arrivé. R bafoue les règles des Vivants et des Morts. Il veut respirer de nouveau, il veut vivre, et Julie va l'aider. Mais leur monde ne se laissera pas transformer sans combattre.

     

     

    Ce que j'en ai pensé                    « L'épreuve [02] » de James Dashner

    Il m’arrive quelques fois de visiter les sites de mes collègues blogueurs et de tomber sur des chroniques pétillantes ou des avis si tentants que je n’ai qu’une seule envie : en apprendre un peu plus sur leurs lectures. D’autres fois, je découvre que certaines d’entre elles sont en cours d’adaptation. Des séries pour la plupart. Des films le reste du temps.

    Il m’arrive aussi, un peu plus rarement, de découvrir qu’une adaptation est en cours et de vouloir connaitre le livre au préalable. Lire avant de visionner. Savourer les mots avant d’être potentiellement déçue par une mauvaise réalisation.

    Car oui, je suis de ceux qui n’apprécient pas spécialement la transition du roman au cinéma. Certes, j’apprécie les bons films, mais pas les mauvaises adaptations. Vous savez, celles qui ne sont pas fidèles au livre ou qui partent dans tout les sens… Mais là n’est pas la question ! Lors de l’une de ces nombreuses escapades, je suis tombée sur une information que je croyais peu importante et qui m'a pourtant influencée. Des images attrayantes d’un acteur séduisant et quelques mots concernant un livre que je n’avais pas encore eu le loisir de survoler : Vivants (Worm Bodies).

    La couverture m’a tout de suite attirée. Son contraste entre le rouge et le blanc. Ce labyrinthe de sang. Cet arbre coloré censé représenter la vie qui s’écoule dans nos veines, entrelacé avec le nom du livre et enchevêtré dans celui-ci, comme deux choses indissociables et inséparables. Le sang pour la vie et le reste pour la mort. J’ai irrémédiablement été fascinée par l’intrigue, par cette nouveauté, cette idée sortant des sentiers battus.

    Fini les vampires. Ce monde apocalyptique est peuplé de zombies en décompositions, régis par des êtres plus délabrés encore, communément appelés les Osseux. Ils ne savent plus lire ou communiquer si ce n’est en mono syllabes. Les grandes conversations ne sont plus pour eux. Les longues balades en voiture sont à proscrire. Les rares moments où les zombies sont de sortie, c’est lorsque la faim les anime. Ce besoin de se nourrir et de manger, quel qu’en soit le prix.

    Quitte à perdre leur peu d’humanité pour de précieuses secondes de vie, lorsque la première bouchée est savourée. Et il y a R, un zombie hors du commun. Un zombie qui aime la musique et qui aimerait pouvoir se souvenir. Revivre. Survivre. Pouvoir lire ce qui l’entoure. Connaitre son nom et celui des autres. Un zombie qui rêve d’une autre vie.

    Comment en sommes nous arrivés là ? Pourquoi ? Les questions sont nombreuses et la plume savoureuse de l’auteur y répond tout en douceur. Il nous laisse savourer son écriture poétique et nous laisse déguster avec sagesse les mots qui parsèment son roman. Ce livre m’a fait l’impression d’un carré de chocolat, petit morceau de douceur dans un moment de déprime.

    Ce réconfort que seul le pot de pâte à tartiner pourrait combler en cas de sombres pensées. Lire un livre d’une telle envergure m’a fait frissonner à plusieurs reprises. C’est un roman parsemé de tendresse et de douceur, malgré quelques passages difficiles et moroses. J’ai vraiment beaucoup apprécié le personnage de R et sa sensibilité particulière. Ses pensées m’ont submergée, sa manière de fonctionner m’a fascinée. Mis à part une fin un brin trop prévisible selon moi (surtout quand on suit le raisonnement du livre),  le roman d’Isaac Marion reste étonnamment abordable et agréable. N’est-ce pas suffisant que pour conquérir n’importe quel lecteur et en faire un coup de coeur monumental ?

    Les + : Une idée vraiment très surprenante, une plume accueillante et agréable qui donne envie d’en apprendre davantage, un personnage principal incroyablement attractif.

    Les – : Une fin assez prévisible et relativement facile à mon goût, tout s’enchaine trop rapidement sur les derniers paragraphes et certaines questions semblent rester quelque peu en suspends.

     

    Les différents tomes de la saga

    Sommaire - classement par auteurs « Vivants » d'Isaac Marion.

     

    Bande-annonce du film          Ne regardez pas la BA si vous ne voulez pas être spoilé


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